Bertrand explore le thème des blessures relationnelles et spirituelles, en soulignant que le cœur humain est le siège des émotions et des souffrances. Il aborde la séparation de l’humanité avec Dieu depuis le jardin d’Éden, ce qui a conduit à une vie marquée par le péché et la souffrance. Il  met en lumière la nécessité de reconnaître la nature pécheresse de l’humanité tout en aspirant à aimer les autres comme Jésus l’a fait, malgré leurs imperfections.

Il encourage l’auditeur à accepter la réalité de la méchanceté humaine et à cultiver un amour inconditionnel, inspiré par l’amour divin (agapè), pour surmonter les blessures et les déceptions. Il souligne l’importance de protéger son cœur et de vivre dans la miséricorde et la compassion, en suivant l’exemple de Jésus qui a aimé sans réserve malgré la connaissance des défauts humains.

Bertrand vous invite à une série de rencontres pour approfondir des sujets tels que l’identité en Christ, les pièges des attentes et des offenses, et la manière de vivre le vrai pardon.

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Bertrand explore l’identité en Christ et la guérison des blessures émotionnelles et spirituelles causées par le péché et les attaques de Satan. Il commence par souligner que les êtres humains sont appelés à la liberté et ne doivent pas être tributaires du regard ou des opinions des autres. Le texte décrit comment le péché a séparé l’humanité de Dieu, entraînant des souffrances telles que la trahison, le rejet, l’abandon, l’humiliation et l’injustice.

Il explique que chaque être humain reçoit des « flèches » ou des blessures dans sa vie, mais que celles-ci ne déterminent pas qui nous sommes. Il souligne que la guérison commence par la compréhension et l’acceptation de la vérité biblique, et par la vie dans l’amour de Dieu. La guérison est un processus qui passe par la déconstruction des mensonges et des fausses croyances, et par la reconstruction de l’identité en Christ.

L’enseignement met en avant que, par la nouvelle naissance en Christ, les croyants deviennent de nouvelles créatures et reçoivent une nouvelle identité fondée sur l’amour, la grâce et la miséricorde de Dieu. Cette nouvelle identité est basée sur des critères bibliques plutôt que sur les normes du monde, telles que l’apparence physique, les capacités naturelles et le statut social.

Bertrand souligne que les croyants sont appelés à vivre une vie transformée par le renouvellement de l’intelligence et à ne plus se conformer aux critères du monde. Ils sont encouragés à construire leur estime de soi et leur confiance en soi sur la vérité de la Parole de Dieu, et à vivre dans la sécurité et l’amour inconditionnel de Dieu.

En conclusion, il enseigne que la véritable identité et la sécurité se trouvent en Christ, et que les croyants sont appelés à vivre une vie d’amour, de paix et de joie, libérés des attentes et des jugements des autres. Ils sont encouragés à prendre soin de leurs relations, à user de miséricorde et de bienveillance, et à vivre dans la confiance en Dieu.

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Bertrand aborde le thème des attentes envers nos proches et les pièges émotionnels et spirituels qui en découlent. Il commence par une réflexion sur l’identité et la valeur personnelle en Christ, contrastant avec les critères du monde basés sur l’apparence physique, les capacités naturelles et le statut social. Le texte souligne que la valeur et les capacités d’une personne sont déterminées par Dieu, qui choisit des individus imparfaits pour Son service.

Il explore ensuite les conséquences de la désobéissance et du péché, notamment la perte de l’amour inconditionnel de Dieu et les carences affectives qui en résultent. Il met en lumière les souffrances causées par ces carences et les tentatives infructueuses de les combler par des plaisirs mondains, conduisant souvent à des dépendances et à des déceptions.

Un accent particulier est mis sur la nécessité de placer sa confiance en Dieu plutôt qu’en les êtres humains, imparfaits et incapables de répondre parfaitement à nos attentes. L’enseignement encourage à vivre selon les critères du Royaume de Dieu, qui sont reposants et basés sur la grâce, plutôt que selon les critères du monde, qui engendrent stress et perfectionnisme illusoire.

Enfin, Bertrand nous appelle à protéger son cœur en ayant des attentes réalistes envers les autres et en cultivant une relation profonde avec Dieu. Il souligne l’importance de pardonner et de continuer à aimer, malgré les déceptions, pour rester dans la joie et le plan de Dieu.

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Bertrand explore le thème de l’offense, présentée comme une arme cachée de Satan visant à détruire les relations humaines et l’amour qui les sous-tend. L’offense est définie comme une parole ou une action qui attaque notre honneur, notre dignité ou notre image de soi, et elle est perçue différemment selon les individus en fonction de leurs histoires et blessures personnelles.

Il souligne que l’offense n’est pas mortelle en soi, mais elle devient dangereuse lorsque nous la nourrissons dans notre cœur, ce qui peut conduire à des conflits, de la colère, des reproches et finalement à la rupture des relations. L’ennemi utilise l’offense pour ranimer des émotions douloureuses et nous piéger dans un cycle de souffrance et de déception.

Pour résister à l’offense, Bertrand nous encourage à se concentrer sur notre identité en Christ, à réaliser que nous sommes aimés et acceptés malgré les actions ou les paroles des autres. Il met en avant l’importance du pardon et de l’amour comme armes principales contre l’offense, et souligne que notre réaction aux offenses détermine la qualité de notre vie et notre croissance spirituelle.

Il conclut en appelant à la prise de conscience que seuls ceux qui nous aiment peuvent profondément nous blesser, et que nous devons garder la porte de la déception fermée pour protéger notre cœur et continuer à vivre dans l’amour et la paix.

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Bertrand explore le thème du pardon, en mettant l’accent sur son importance pour vivre en harmonie avec soi-même et avec les autres. Il commence par souligner que le pardon est un processus essentiel pour protéger notre cœur et vivre notre identité en Christ. Le pardon est décrit comme un moyen de libérer à la fois l’offenseur et soi-même des chaînes de l’amertume et de la colère.

Il explique que le pardon n’est pas l’oubli, mais plutôt une cicatrisation de la mémoire émotionnelle, permettant de se souvenir sans ressentiment. Il souligne également que le pardon n’est pas toujours immédiat et ne doit pas être forcé, mais doit être un choix libre et sincère. Le pardon est présenté comme un acte d’amour et de grâce, inspiré par l’amour inconditionnel de Dieu.

Bertrand utilise des métaphores comme celle du bouc émissaire pour illustrer le transfert des péchés et des offenses sur Jésus, permettant ainsi une libération spirituelle. Il introduit également trois termes grecs pour le pardon : aphiemi (renvoyer, libérer), aphesis (libérer de l’esclavage), et charizomai (accorder une faveur ou faire miséricorde). Chacun de ces termes offre une perspective différente sur la manière de parvenir au pardon.

Enfin, il encourage le lecteur à embrasser le pardon comme un moyen de vivre une vie plus noble et aimante, en suivant l’exemple de Jésus. Il invite à la repentance et à l’engagement de pardonner, afin de ne pas devenir prisonnier de l’amertume et de la haine, mais de vivre dans la lumière et l’amour de Dieu.

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